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dimanche 24 avril 2011

les locataires de Blanqui-Damidot réclament un ascenseur..


LES LOCATAIRES DU 
33, RUE FLORIAN 
VEULENT EUX AUSSI 
UN ASCENSEUR !



Les locataires de la résidence Blanqui-Damidot réclament (entre-autre) un ascenseur dans les cinq allées de leur ensemble immobilier.

Les locataires invoquent le fait que la plupart des locataires ont plus de 50 ans, et que l'absence d'ascenseurs dans les immeubles est invalidant. Le président de l'association cite une locataire de 84 ans qui doit monter chaque jour trois étages pour accéder à son logement.

L'installation d'ascenseurs dans les immeubles ayant au moins trois étages présente en effet un certain nombre d'avantages :

  • il rend service aux locataires
  • les livreurs et les facteurs sont mieux enclins à monter les colis aux locataires
  • l'installation d'un ascenseur en modernisant le parc locatif est plus attractif pour les résidents potentiels, donc il contribue à valoriser le parc immobilier
  • il fait travailler le secteur du bâtiment
Les locataires ont le droit d'avoir un ascenseur.

Leur demande est légitimement fondé.

Comme les locataires de Blanqui-Damidot, 

  • les locataires du 33, rue Florian, demandent à la société ALLIADE-HABITAT, l'installation d'un ascenseur dans leur immeuble de quatre étages

C'est possible techniquement.

Nous en avons discuté avec ALLIADE-HABITAT qui persiste à refuser notre demande.

Monsieur Jean-Jacques QUEYRANNE nous avait laissé entendre qu'il suivait notre dossier.

Comme toujours, des promesses restés sans réponses...

Monsieur QUEYRANNE, vous allez lire ce blog... 

Sommes-nous dans les oubliettes ?

ALLEZ-VOUS NOUS AIDER, VOUS QUI PARLEZ TOUJOURS DE SOLIDARITÉ AU MOMENT DES ELECTIONS ?

Dardilly : utilité des fouilles archéologiques

Un pavement au-dessus de l’aqueduc : les archéologues n’avaient encore jamais vu ça  / Photo Myriam Mons

Il s’agit d’un diagnostic préventif. 

Avant le dépôt d’un permis de construire, une association dardilloise a demandé aux archéologues de venir sonder le terrain, sachant que le site est classé en zone archéologique sensible. 

L’aqueduc de la Brévenne passe par là. Et a été effectivement découvert par les techniciens. Accompagné d’un regard pour l’entretien de l’édifice. 

On compte déjà une dizaine de regards connus sur l’aqueduc de la Brévenne. 

Mais la perplexité des archéologues a été grande lorsqu’ils ont mis à jour une aire dallée d’environ 200 m 2 qui passe au-dessus de l’aqueduc. 

Associée au regard, ce genre d’installation n’avait encore jamais été découvert. Les archéologues de l’Inra (Institut national de recherches archéologies préventives remettront un rapport à la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) qui décidera si des fouilles doivent être effectuées. 

Ensuite, le permis de construire pourra enfin être déposé et la vie de l’association reprendre son cours normal...

C'est à cela que sert la prescription d'archéologie préventive.

patrimoine historique du quartier de la Ferrandière

Quand Villeurbanne n'était  encore que la Villa urbana



La butte de la Ferrandière devant l'avenue Antoine de Saint-Exupéry (qui est une des limites de la future ZAC DES MAISONS-NEUVES) est un des vestiges historiques appartenant au prestigieux passé du quartier de la Ferrandière.

Nous, habitants du quartier de la Ferrandière, aimerions savoir ce que recèle exactement cette butte, car des bruits qui courent fonts états, notamment d'une butte médiévale...

Si c'est le cas, la future ZAC serait illégale.

En tout cas, avec la création de la future ZAC, ce sera l'occasion d'y voir plus clair avec la prescription d'archéologie préventive forcément liée à l'étude d'impact de la future ZAC des Maisons-Neuves puisqu'il existe de fortes suspicions de vestiges archéologiques liés à l'histoire du quartier de la Ferrandière.

Nous tenons à la disposition de ceux qui nous en feront la demande par email, le fascicule " la Ferrandière, plus de 150 ans d'histoire" (fichier PDF 26,1 Mo), à nous demander à l'adresse suivante : 

bill1000@orange.fr 

ou à réclamer le fascicule papier à la paroisse Immaculée de Marie, 34, rue Richelieu, 69100 - Villeurbanne

On ne peut faire disparaître le patrimoine historique d'un quartier sans faire un inventaire et une évaluation précise de ce que le sous-sol recèle exactement, car parfois on a des surprises.. (voir l'article du Progrès du 24 avril : "Dardilly : découverte archéologique inédite..." que nous publions ce jour)

Il y avait dans tout ce périmètre un grand domaine : le domaine de la Ferrandière - vendu à la Société Civile Immobilière de la Ferrandière en 1937.

Il y avait aussi le château de la Ferrandière - démoli - qui devient en 1818 un couvent de religieuses puis un pensionnat de jeunes-filles crée par Madeleine-Sophie Barat.


Cette dernière qui fut plus tard canonisée est la fondatrice en 1800, de la Société du Sacré-Cœur, une congrégation internationale qui, actuellement, s'étend sur tous les continents dans une quarantaine de pays et qui rassemble plusieurs milliers de religieuses.

Il serait bien surprenant qu'il n'existe pas, sous la butte de la Ferrandière, des vestiges archéologique importants, et seules des fouilles archéologiques peuvent nous éclairer sur ce point.


si vous souhaitez en savoir plus, clikez sur les liens ci-dessous :

http://www.sophie-barat.net/pastorale/madeleinesophiebarat.htm

Ignorer le passé du quartier de la Ferrandière serait un déni du passé historique de notre quartier.

Les habitants du quartier ont le droit de savoir ce qui se trouve sous la butte de la Ferrandière avant de procéder à une destruction programmée de leur quartier.


Les habitants du quartier de la Ferrandière.